normand lebrecht

26 avril 2023

Une étude espagnole révèle qu’écouter de la “musique classique” n’apporte aucun bien appréciable aux troubles cognitifs légers (MCI). Cependant, il semble qu’ils ne leur aient joué que du Mozart.

Du résumé :

Compte tenu du manque de traitements efficaces pour contrer les troubles cognitifs, la musique de fond a traditionnellement été proposée comme une alternative thérapeutique possible pour améliorer les tâches liées à la mémoire. Son effet a longtemps fait l’objet de débats, mais cette relation s’avère aujourd’hui possiblement déterminée par de nouveaux paramètres interindividuels, ce qui signifie qu’elle est peut-être plus complexe qu’on ne le pensait auparavant.

C’est ce que montrent les recherches menées par Marco Calabria, chercheur du groupe Cognitive Neurolab de la Faculté des sciences de la santé de l’Universitat Oberta de Catalunya (UOC), qui envisage désormais de nouvelles expériences.

Les premiers résultats de l’étude sur l’effet Mozart et la mémoire chez les patients atteints de troubles cognitifs (MEM-COG), financée par le ministère espagnol des Sciences et de l’Innovation, suggèrent qu’écouter de la musique classique de fond tout en effectuant des tâches de mémoire n’améliore ni n’altère les niveaux d’apprentissage chez les personnes. souffrant de troubles cognitifs légers (MCI).

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By mrtrv